dimanche 15 août 2021

Keisuke Kinoshita, Vingt-quatre prunelles, 1954

Une institutrice nommée sur une île, dévouée à sa tache. Magnifique mélodrame.

Sadao Yamanaka, Pauvre humanité et ballon de papier, 1937

 Chef d'œuvre.

Tomu Uchida, Détroit de la faim, 1965

Un grand film.

Mizoguchi, L’impératrice Yang Kwei-Fei

Un Mizoguchi en couleurs, et ce n’est pas forcément le point fort, sauf dans une scène d’avancée de la foule la nuit et dans quelques tableaux.

Mizoguchi, La rue de la honte

Le dispositif tout en intérieur est superbe, la violence est ténue mais au final c’est un drame, la femme répudiée par son fils, l’autre dont le mari veut se pendre, l’autre encore qui devient folle et cette scène finale, avec le regard à moitié caché de la jeune fille et la musique, au final un très grand film simple. Sublime.

Renoir, la grande illusion, 1937

Structurée en trois parties ascendantes, de la promiscuité à la solitude (la caserne, le château, les alpages), La Grande Illusion met en sc...