Le dispositif tout en intérieur est superbe, la violence est ténue mais au final c’est un drame, la femme répudiée par son fils, l’autre dont le mari veut se pendre, l’autre encore qui devient folle et cette scène finale, avec le regard à moitié caché de la jeune fille et la musique, au final un très grand film simple. Sublime.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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