Le film n’a pas d'ambition formelle mais il aurait pu être plaisant s’il s’était contenté du trajet linéaire, géographique, de la reconstruction de son héros et de ses rencontres. Mais sa construction en flash-back déjoue toute tension et la voix off un peu sentencieuse ajoutée au veston et à l'écharpe du baroudeur distingué détourne de la beauté des paysages, du voyage et de la douleur apaisée.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Mizoguchi, Les amants crucifiés, 1954
Mélodrame amoureux, certains des plus beaux plans de l’histoire du cinéma.
-
Portrait de quelques femmes affirmées dans un conte qui revisite Cendrillon, par le body-horror. Cruel à tous points de vue (celui du corps ...
-
Importance de la famille biologique, de l’affirmation de soi, du renoncement aux codes sociaux pour le bien-être de ses enfants : ce conte e...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire