Dans le genre absurde et débile, avec enquête et situations décalées, ce 38°5 a une certaine exigence rythmique (les séquences s’enchainent, le montage est rapide). Il y a de bons acteurs, Arthus et Caroline Anglade surtout, Didier Bourdon étant presque comme toujours au cinéma, et de manière incompréhensible sous exploité, mal dirigé (comment, quand on a été aussi bon dans ses propres sketchs, il y a 30 ans, peut-on être aussi moyen aujourd’hui ?). 38°5 quai des orfèvres n'est malheureusement que très rarement drôle.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Refn, Pusher
Le premier visionnage de la trilogie Pusher m’avait fait une forte impression. À sa ressortie, le film a sans doute un peu perdu de sa force...
-
Portrait de quelques femmes affirmées dans un conte qui revisite Cendrillon, par le body-horror. Cruel à tous points de vue (celui du corps ...
-
Importance de la famille biologique, de l’affirmation de soi, du renoncement aux codes sociaux pour le bien-être de ses enfants : ce conte e...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire