Les deux réalisateurs ont réussi là un film moins didactique, curieusement moins frontalement politique qu'à leur habitude, et avec un sujet pourtant directement politique, mais dont le postulat grotesque, la fable, a comme évacué la charge qui porte leurs précédents métrages — comme si le sujet les exonérait en partie du devoir militant. Peut-être leur meilleur film.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
Le film ne parvient pas à retranscrire l’ampleur ni le caractère épique de l’aventure. Il souffre de déficits techniques dans la mise en scè...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
Dans un appartement désincarné, impersonnel, bourgeois. Un couple adopte un camarade de leur fils, orphelin . Issu d’un milieu populaire, i...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire