Surendettement, mouvement écologique et romance, le film rate à peu près tout, les seules séquences réussies sont les passages comiques avec Jonathan Cohen et Pio Marmaï. La morale pécuniaire bizarre qui clôt le film en rajoute une couche. Le film aurait peut-être dû rester une farce.
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Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
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