mercredi 17 septembre 2025
Vincent Maël Cardona, Le roi soleil, 2025
Un bar PMU, des habitués, un ticket gagnant, un drame. Le début du film propose plusieurs points de vue — mais le dispositif est finalement abandonné au profit d'un simple jeu de massacre moral (voler c'est mal). Une sorte d'Amélie Poulain dépressive, renfermée, aux images poisseuses. Totalement raté.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Renoir, la grande illusion, 1937
Structurée en trois parties ascendantes, de la promiscuité à la solitude (la caserne, le château, les alpages), La Grande Illusion met en sc...
-
Drame amoureux romantique, mal écrit, articulant deux récits (si on veut…) : la recherche d’une femme par le comte et par le prêtre — le fil...
-
En dépit de deux idées, de l’ordre du décor (le globule attaquée derrière la vitre et les scènes de vitesse horizontales), le film, qui util...
-
La brève série d’Alain Chabat est assez enthousiasmante dans ses quatre premiers épisodes puis franchement ratée sur le dernier, ce qui rel...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire