Cinquième opus de la série Lady Yakuza.
Oryū, exilée suite à la mort d’un de ses hommes, cache sa condition de yakuza et vit normalement parmi des métayers travaillant au commerce de l’indigotier et soumis à des clans.
Assez vite, les relations entre les différents protagonistes deviennent incompréhensibles, sans pour autant dissiper le plaisir de l’histoire ; c’est une sorte de western nippon verbal, avec bastons sanglantes (sans goutte sur les tatamis), coups magiques de Lady Yakuza qui semblent ne pas y toucher et surtout des parties de cartes constamment passionnantes.
C’est la force de ce film, porté par une photographie magnifique et une belle musique, que de rester captivant en dépit de ce scénario fonctionnant pas à-coups.
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