Après une panne mystérieuse qui arrête toute activité, une famille tente de rejoindre Osaka.
Un film post-apocalyptique, de route, de survie, mais sans la mythologie SF qui lui est habituellement associée, avec un ton à la fois plus léger et plus naturaliste. On y retrouve un certain nombre de motifs presque obligés : les rencontres, la recherche de nourriture, la préservation de l’eau, la traversée du fleuve, les chiens, l’arrêt dans une ferme et la tentation de se sédentariser, etc. Mais le film a sa manière singulière.
Les vingt dernières minutes sont malheureusement un peu ratées, appuyant trop sa dimension familiale : fin joyeuse, tous réunis dans le train, et la bonne rigolade.