mardi 30 septembre 2025
Joachim Trier, Sentimental value, 2025
dimanche 28 septembre 2025
Paul Thomas Anderson, Une bataille après l’autre, 2025
Kenji Misumi, La lame diabolique, 1965
Hanpei, un vassal fils d’une femme et dit-on d’un chien, travaille pour un seigneur, il est jardinier, il fait pousser des fleurs. De son origine, il tire une grande vitesse. Il tue des espions dans des combats dont, les les coups portés, ce sont les conventions du genre sont toujours à côté. Un chambara de série b, un peu dispersé dans son récit, beaucoup moins captivant que les deux autres films de Misumi présentés.
samedi 27 septembre 2025
Darren Aronofsky, Pris au piège, 2025
Kenji Misumi, Le sabre, 1964
vendredi 26 septembre 2025
Lucile Hadžihalilović, La tour de glace, 2025
Kenji Misumi, 斬る, Kiru (Tuer !), 1962
Un samouraï aux origines tragiques voit les femmes qu’il devait protéger mourir, il se met au service d’un shogun. Chambara de série b, au scénario (de Kaneto Shindō) extrêmement simple. Tuer ! trouve un ton très juste, entre le comique un peu involontaire (la botte secrète, les combats et les coups jamais portés) et une très grande élégance formelle.
jeudi 25 septembre 2025
Pierre Schoeller, Rembrandt, 2025
Une ingénieure en nucléaire a une révélation devant un tableau de Rembrandt et se mue en lanceuse d’alerte : « attention, il peut y avoir un emballemenf climatique qui produirait un emballement nucléaire ». Incomprise, elle s’éloigne du monde. Les acteurs sont assez bons, la photographie est belle, mais la révélation est si ridicule qu'elle n’est pas à la hauteur de ce qu’elle suscite (donc du film), quand aux tableaux de Rembrandt, déclencheurs, ils sont greffés artificiellement sur le récit, lui conférant une fausse profondeur. Une belle forme parfois appuyée (notamment dans sa musique) pour un propos neuneneu.
mercredi 24 septembre 2025
Yann Gozlan, Dalloway, 2025
mardi 23 septembre 2025
Akira Kurosawa, Chien enragé, 1949
lundi 22 septembre 2025
Gregg Araki, The Doom Generation, 1995
dimanche 21 septembre 2025
Chris Miller, Les Schtroumpfs le film, 2025
Trappes, rayons magiques, portes d’entrée dimensionnelles, etc. : tout ce qui dispense d’une vraie construction narrative est ici convoqué pour faire avancer le récit. La seule bonne idée du film, mais le procédé a déjà été utilisé dans un épisode des Simpson, tient à l'utilisation, lors des brèves séquences des techniquemes différentes, suggérant le passage d’une dimension à une autre. Une chanson de Rihanna, Anyone (qui ressemble par ailleurs à Halo de Beyoncé) peut aussi être sauvée. Tout le reste témoigne d’une fainéantise d’écriture et d’un défaut d’ambition.
samedi 20 septembre 2025
Michael Angelo Covino, Libre échange, 2025
vendredi 19 septembre 2025
Kurosawa, Les bas-fonds, 1957
jeudi 18 septembre 2025
Lucas Belvaux. Les tourmentés, 2025
mercredi 17 septembre 2025
Shih-Ching Tsou, Left-Handed Girl, 2025
Chronique familiale, à Taipei, dans un marché de nuit. Un film, d’une grande justesse, subtilité, composition — avec une belle photographie, d’excellentes actrices, qui parvient à parler du statut des femmes taiwanaises, de la famille — par son scénario, de manière non didactique. Première réalisation solo de Shih-Ching Tsou. Un des meilleurs films de l’année.
Vincent Maël Cardona, Le roi soleil, 2025
lundi 15 septembre 2025
Akira Kurosawa, Entre le ciel et l’enfer, 1963
Suite de séquences formelles, picturales, rythmiques, narratives structurant les trois parties d’une intrigue policière : la négociation, la rançon, l'enquête. Film majeur de Kurosawa et de toute l'histoire du cinéma.
dimanche 14 septembre 2025
Yasuzô Masumura, La bête aveugle, 1969
Un sculpteur aveugle enlève un modèle afin d’accomplir son œuvre. Peu à peu, elle s’éprend de lui. Farce de la cruauté, fétichiste, jusqu’au-boutiste, entre l'appartement surréaliste à la Dali, le pinku eiga et le nanar bataillien. Une curiosité daté, sur des problématiques œdipienne et de porosité entre l’artiste, le modèle et l’œuvre.
samedi 13 septembre 2025
John Woo, Hard Boiled, 1991
Alexandre Astier, Kamelott 2, 2025
Le film ne parvient pas à retranscrire l’ampleur ni le caractère épique de l’aventure. Il souffre de déficits techniques dans la mise en scè...
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